Edition du lundi 05 mai 2025
À Bukavu, la montée de l’insécurité interpelle toutes les couches sociales. Mais plus particulièrement, elle met en lumière un acteur souvent négligé : le jeune.
Par N.A.E
Actifs, nombreux et connectés, les jeunes représentent une force stratégique dans la lutte contre l’insécurité. Leur implication directe peut faire basculer l’équilibre vers une ville plus sûre.
Il est urgent que la jeunesse cesse d’être spectatrice ou victime de l’insécurité, pour devenir sentinelle et actrice.
Les jeunes peuvent mettre en place des groupes d’alerte dans les quartiers, collaborer avec les comités locaux de sécurité, et utiliser les réseaux sociaux pour signaler des mouvements suspects.
Le sentiment d’appartenance à leur ville doit les pousser à refuser la banalisation du mal.
Les autorités, de leur côté, doivent créer un environnement propice à cet engagement. Formation, reconnaissance et protection sont essentielles.
Ce n’est qu’en responsabilisant les jeunes qu’on pourra construire un tissu sécuritaire solide et durable à Bukavu. La sécurité ne se décrète pas, elle se construit ensemble.
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